LES PREPAS DU LYCEE GEORGES DE LA TOUR (METZ-FRANCE)
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Comment bien agir lorsqu'on est homme d'Etat ? Quels sont d'abord les principes qui doivent guider l'action d'un homme politique ? C'est d'abord l'adéquation au donné, aux évènements, inconciliable avec les convictions personnelles qui, pour Oswald Spengler, doit primer. Machiavel réfute également la nécessité de respecter de grands principes moraux, car pour lui le Prince, quitte à se détourner du bien, doit surtout se montrer souple face aux réalités. Raymond Polin n'est pas exactement du même avis : il existe pour lui une véritable vertu de l'homme d'Etat, même s'il rejoint finalement les autres en soutenant que cette vertu n'est pas intangible et diffère largement selon les situations. Quel rapport au peuple ces actions supposent-elles alors ? Polin, bien que rappelant la liberté des citoyens, ne souligne pas moins la nécessité de composer avec l'inconstance de leurs intentions et de jouer habilement de leurs passions. Machiav
Au cours des années 1525-1527, Michel-Ange sculpte le tombeau du jeune duc Julien de Médicis, abattu par la main des hommes à 25 ans dans la cathédrale de Florence. Michel-Ange étend sur le sarcophage les figures du jour et de la nuit, et écrit: "le jour et la nuit parlent et disent: dans notre cours rapide nous avons conduit à la mort le duc Julien. Il est donc juste qu'il se venge. Sa vengeance consiste en ce que maintenant que nous l'avons tué, il nous a ravi la lumière et de ses yeux fermés a fermé les nôtres..."
" Le Porc Je peindrai ici l’image du Porc. C’est une bête solide et tout d’une pièce ; sans jointure et sans cou, ça fonce en avant comme un soc. Cahotant sur ses quatre jambons trapus, c’est une trompe en marche qui quête, et toute odeur qu’il sent, y appliquant son corps de pompe, il l’ingurgite. Que s’il a trouvé le trou qu’il faut, il s’y vautre avec énormité. Ce n’est point le frétillement du canard qui entre à l’eau, ce n’est point l’allégresse sociable du chien ; c’est une jouissance profonde, solitaire, consciente, intégrale. Il renifle, il sirote, il déguste, et l’on ne sait s’il boit ou s’il mange ; tout rond, avec un petit tressaillement, il s’avance et s’enfonce au gras sein de la boue fraîche ; il grogne, il jouit jusque dans le recès de sa triperie, il cligne de l’œil. Amateur profond, bien que l’appareil toujours en action de son odorat ne laisse rien perdre, ses goûts ne vont point aux parfums passagers des fleurs ou de fruits frivoles ; en tout il cherche la nourr
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