Florian Durthaler (promo 2008) à Bordeaux (BEM)
En ce qui concerne les concours, la première chose est de partir confiant ; si le stress peut être motivant à petite dose, en abuser peut causer une forme de paralysie. Il faut se rappeler, en particulier pour ceux qui ne sont pas fans des mathématiques, que les concours ne se jouent pas sur une matière : par contre, négliger une matière serait préjudiciable.
Pour le côté pratique, quelques conseils que vous avez sûrement déjà reçus : arriver en avance aux concours pour ne pas arriver stressés dans la salle (certains étaient arrivés en retard l’année dernière) ; ne pas se laisser impressionner par le voisin (notamment celui qui remplira deux copies de mathématiques en une demi heure) ; finalement le plus important est de garder la tête froide et de se rappeler des conseils qui ont été donnés par les professeurs (notamment sur la gestion du temps).
Pour les oraux, il faut viser large ; ne pas avoir peur de faire beaucoup d’écoles (ça restera toujours une belle expérience) même s’il est que cela engage des frais. Il faut également savoir s’organiser : mettre une ou deux écoles moins importantes au début pour s’entraîner, ensuite les écoles préférées puis finalement des écoles qui sont moyennement importantes car la fatigue des oraux et des soirées (il faut se préparer à ça aussi et en profiter sans se laisser distraire) va se faire sentir. Pour les dernières écoles, il me paraît plus aisé de mettre les Ecricomes qui semblent les moins intéressantes car il n’y a qu’une épreuve d’entretien de personnalité (donc pas de sujet à préparer). D’ailleurs pour les langues Ecricome, j’espère que vous les passerez à Nancy car, notamment en espagnol, les professeurs de Georges de la Tour ont une très bonne réputation et il serait donc suicidaire de remettre en question la méthodologie des professeurs devant l’examinateur, comme certains ont pu le faire. (Petit truc : le voyage à l’étranger que « conseille » el señor Bowyer constitue notamment la première réponse à la question de l’examinateur de Nancy : « qu’avez-vous fait pour passer de l’espagnol théorique à l’espagnol pratique ». J’ai gagné 5 minute à parler de mon voyage, du coup il a dû écourter ma présentation du texte…ce qui peut être avantageux quand on n’a pas prévu de conclusion).
En ce qui concerne le choix de l’école, mes conseils sont les suivants : ne pas se fier exclusivement aux classements des écoles pour choisir son école et se méfier des discours des directeurs. Pour cela il faut prendre un peu de temps pour visiter l’école, parler aux élèves et découvrir la ville. Cependant, il faut se dire qu’aujourd’hui tous les anciens élèves semblent heureux de l’école qu’ils ont choisie.Et moi le premier !!! Bordeaux et son école me comblent. Si la plaquette donne toutes les informations pratiques, quelques ajouts semblent intéressants : BEM est en révolution et beaucoup de projet sont en train d’être mis en place (1e année divisée en 5 séquences thématiques et donc 5 sessions de partiels ce qui les rend plus courts mais plus fréquents ; deuxième année à la carte avec le choix parmi de nombreux modules), ce qui laisse parfois la place pour quelques petits cafouillages, mais dans l’ensemble l’école est bien gérée. L’esprit de l’école est quelque chose de très important et le séminaire d’intégration d’une semaine, qui a lieu avant le début des cours dans un village de vacance, permet de souder les individus face à l’adversité (notamment pendant la course d’orientation de nuit). Pour ce qui est de l’emploi du temps, la majorité des cours sont regroupés du lundi au mercredi, qui sont donc trois journées plutôt chargées, mais cela permet de mettre en place un travail personnel et des projets plus concrets: d’ailleurs les projets en collaboration avec les entreprises commencent quasiment dès la rentrée (personnellement, je suis dans un groupe qui fait l’étude de l’image de marque d’un théâtre de Bordeaux). Beaucoup d’activités sont représentées dans l’école ce qui m’a permis de continuer le judo et de me mettre au rugby (j’avais même commencé les cours de salsa).
Pour le côté pratique, quelques conseils que vous avez sûrement déjà reçus : arriver en avance aux concours pour ne pas arriver stressés dans la salle (certains étaient arrivés en retard l’année dernière) ; ne pas se laisser impressionner par le voisin (notamment celui qui remplira deux copies de mathématiques en une demi heure) ; finalement le plus important est de garder la tête froide et de se rappeler des conseils qui ont été donnés par les professeurs (notamment sur la gestion du temps).
Pour les oraux, il faut viser large ; ne pas avoir peur de faire beaucoup d’écoles (ça restera toujours une belle expérience) même s’il est que cela engage des frais. Il faut également savoir s’organiser : mettre une ou deux écoles moins importantes au début pour s’entraîner, ensuite les écoles préférées puis finalement des écoles qui sont moyennement importantes car la fatigue des oraux et des soirées (il faut se préparer à ça aussi et en profiter sans se laisser distraire) va se faire sentir. Pour les dernières écoles, il me paraît plus aisé de mettre les Ecricomes qui semblent les moins intéressantes car il n’y a qu’une épreuve d’entretien de personnalité (donc pas de sujet à préparer). D’ailleurs pour les langues Ecricome, j’espère que vous les passerez à Nancy car, notamment en espagnol, les professeurs de Georges de la Tour ont une très bonne réputation et il serait donc suicidaire de remettre en question la méthodologie des professeurs devant l’examinateur, comme certains ont pu le faire. (Petit truc : le voyage à l’étranger que « conseille » el señor Bowyer constitue notamment la première réponse à la question de l’examinateur de Nancy : « qu’avez-vous fait pour passer de l’espagnol théorique à l’espagnol pratique ». J’ai gagné 5 minute à parler de mon voyage, du coup il a dû écourter ma présentation du texte…ce qui peut être avantageux quand on n’a pas prévu de conclusion).
En ce qui concerne le choix de l’école, mes conseils sont les suivants : ne pas se fier exclusivement aux classements des écoles pour choisir son école et se méfier des discours des directeurs. Pour cela il faut prendre un peu de temps pour visiter l’école, parler aux élèves et découvrir la ville. Cependant, il faut se dire qu’aujourd’hui tous les anciens élèves semblent heureux de l’école qu’ils ont choisie.Et moi le premier !!! Bordeaux et son école me comblent. Si la plaquette donne toutes les informations pratiques, quelques ajouts semblent intéressants : BEM est en révolution et beaucoup de projet sont en train d’être mis en place (1e année divisée en 5 séquences thématiques et donc 5 sessions de partiels ce qui les rend plus courts mais plus fréquents ; deuxième année à la carte avec le choix parmi de nombreux modules), ce qui laisse parfois la place pour quelques petits cafouillages, mais dans l’ensemble l’école est bien gérée. L’esprit de l’école est quelque chose de très important et le séminaire d’intégration d’une semaine, qui a lieu avant le début des cours dans un village de vacance, permet de souder les individus face à l’adversité (notamment pendant la course d’orientation de nuit). Pour ce qui est de l’emploi du temps, la majorité des cours sont regroupés du lundi au mercredi, qui sont donc trois journées plutôt chargées, mais cela permet de mettre en place un travail personnel et des projets plus concrets: d’ailleurs les projets en collaboration avec les entreprises commencent quasiment dès la rentrée (personnellement, je suis dans un groupe qui fait l’étude de l’image de marque d’un théâtre de Bordeaux). Beaucoup d’activités sont représentées dans l’école ce qui m’a permis de continuer le judo et de me mettre au rugby (j’avais même commencé les cours de salsa).
Commentaires
Enregistrer un commentaire